2009/09/26

Venise, Italie, 23-24 septembre

Il est beaucoup plus facile d'entrer à Venise que je ne le pensais. On m'avais dit qu'il fallait stationner à l'extérieur de l'ile et qu'il fallait entrer sur l'ile. En effet il y a un stationnement juste à la porte de l'ile, mais il y a un pont qui fait un bon 10 mètres de large à parcourir pour entrer sur l'ile. Big deal. Venise est composé de petites iles, qui sont traversées de canaux. Il n'y a aucune voiture qui peut entrer sur l'ile, aucune moto non plus. Il n'y a que deux types véhicules qui peuvent se promener dans Venise, des bateaux et des vélos. En deux jours, je n'ai vu aucun vélo. Il y a des ponts, qui sont en faits des marches et il y a des rues très courtes et étroites qui sont bondées de mondes. Les vélos ne sont donc pas une bonne idée.

Nous n'avions pas d'hôtel, mais un "Bed and Breakfast" qui est dans une résidence privée dans le cartier de Santa Croce. C'est seulement à 10 minutes de marche de "Piazzale Roma" où nous avions stationné notre voiture. C'est intéressants les B&B. On est chez quelqu'un qu'on connais pas. On ne sent pas vraiment privée. C'est un peu comme quand on va passer la nuit chez la belle-mère. On est dans notre chambre, mais on veux pas faire trop de bruit. Cependant, les gens qui nous ont reçus sont très gentils. La dame nous avais préparé un itinéraire sur un plan qui indiquait un chemin qui nous menait à la place St-Marc. L'itinéraire nous menait par un chemin qui était moins touristique, mais qui nous menais quand même aux places qui sont les plus connus de Venise. Parmi celles-ci, il y avait la place St-Marc et le pont Rialto.

La place St-Marc

La place St-Marc est la plus grande place de Venise, j'ai lu dans un livre de tourisme que c'était la seule place dans Venise. C'est drôle, j'en ai passé 20 pour m'y rendre. C'est une place gigantesque, qui a une tour au beau millieu, qui a une basilique du côté est, qui a un canal au sud, qui a des boutiques tout le tour, qui a des boutiques de tout le long des chemins qu'on prends pour la rejoindre et qui a beaucoup trop de touriste. Cette place est souvent inondée lors des grandes marées. Il arrive même qu'il y ait des tours de gondoles à l'intérieur de la place. Si vous aimer magasiner, prévoyez une journée complète à cette place, cependant si vous êtes comme moi, que nous n'aimez pas magasiner, un bon 15 minutes devrait faire l'affaire. Il faut au moins prendre 5 minutes à regarder l'horloge qui se trouve sur la façade nord. Les heures sont en chiffres romains, les minutes ne sont changées qu'en incrément de 5 minutes, il y a la position du soleil et de la lune dans le zodiaque qui y sont indiquées.

Il y a une légende qui dit que l'horloge était considérer comme un miracle lors de sa construction et que les deux constructeurs de cette horloge aurait eu leurs yeux d'arrachés pour être sûr qu'ils ne puissent pas répéter leur exploit. Si je me rappelle bien des cours de management que j'ai eu, je penses qu'il faut dire aux employés qu'ils font du beau travail quand ils ont bien fais quelque chose. A moins qu'il faut les torturer quand ils font du beau travail??? Je suis plus sûr.

Le pont Rialto

Le pont Rialto est malheureusement comme la place St-Marc. Trop de magasins, trop de touristes. On se bouscule pour passer sur le pont. On a de la misère à le voir des rives car il y a trop de boutiques ou de quais avec des bateaux qui le cache. Il faudrait prendre un bateau pour pouvoir l'apercevoir correctement. Après le "Ponté Vecchio" de Florence, celui-ci est un peu décevant. Prévoyez un bon 5 minutes pour le visiter. A moins que vous voulez faire les boutiques, bien sûr.

La vrai façon de visiter Venise

Il parait qu'on ne peut pas ne pas se perdre dans Venise. C'est possible que sans cartes on va se perdre, mais avec une bonne carte, c'est pas si difficile s'orienter dans Venise. La vieille ville n'est pas tellement grande. Les rues sont pratiquement toutes perpendiculaires. Il est donc facile de se trouver. En tous cas, je le trouve. Mais selon moi c'est la meilleure façon de visiter. Partez dans une direction et marchez pendant un bout sans regarder la carte. Une fois bien perdu, essayez de vous trouvez en utilisant une carte. Peux-être qu'un bon guide pourrait être une autre alternative. Au Bed and Breakfast, il y avait un guide dont je ne me rappelle plus le nom. Mais il semble que l'auteur ait fait une job incroyable lors de la rédaction de ce livre. C'est dommage que je ne me rappelle plus du titre. Mais ce livre était écris comme si c'était un codex, un livre manuscrit. Bien qu'il y est écrit avec des caractères typographiques, il y a beaucoup de dessins faits à la main, comme s'ils avaient été fait à main levée alors qu'il se promenais dans les rues et il y a beaucoup de détail tels que: "si vous y passez durant les après-midis chauds, vous verrez un ancien joueur de rugby qui est l'ami d'enfance du patron qui est devant le café et qui s'amuse à jouer les guides touristiques". C'est écris comme si c'était quelqu'un qui était parti explorer la ville durant plusieurs années qui l'avait écris. Si vous voulez savoir quel livre c'est faites moi la demande, je vais le retrouver.


Venise est une belle petite ville, mais on en fais le tour assez rapidement. Je crois qu'en une semaine est assez pour en faire le tour. Quand je dis le tour, c'est de passer sur toutes les rues. Cependant, si on a un très bon livre qui nous permet de savoir tout ce qui est intéressant dans Venise, on pourrait y passer des années avant d'en avoir fait le tour. Malheureusement, je n'étais pas assez bien préparer lorsque nous y avons été. On vois plein de belles choses, mais il y a plein de choses qui sont devant nous, mais qu'on ne connais pas et qu'on ne remarque pas. Comme bien des viles d'Italie, il y a beaucoup d'histoire ici et il faut prendre du temps et être bien préparer avant de visiter.


2009/09/25

Florence, Italie, 23-24 septembre

Florence est la capitale régionale de la Toscane. Bien qu'il soit originaire de Vinci, c'est la ville où Leonardo DaVinci a passé la plupart de son temps. Durant son époque, la renaissance, il était courant pour les artistes, inventeurs, architectes et autres personnages qui étaient susceptibles d'améliorer le prestige ou la puissance d'une ville d'être invités par les maîtres des villes états pour qu'ils puissent exercer leur arts.

L'histoire de Florence est trop importante pour que je puisse vous la résumé dans un blog. Mais elle est aussi trop importante pour être laissé de côté. Alors je vais faire un petit blog pour cette fois-ci, mais j'ai donc décidé de revisiter toutes les places que nous avons visités pour en parler plus en détail dans des blogues que je ferais lorsque j'aurais plus de temps. En effet, blogger quand on est en croisière est assez facile, on reviens et on blog durant le voyage à la prochaine ville. Quand on est en voiture, c'est un peu plus rough de blogger. Surtout quand c'est moi qui conduit.

Donc comme je disais dans le dernier blog, nous avons visité Florence. Notre hôtel était très près de tout. Nous avons visité le "Ponte Vecchio", le vieux pont, un pont qui a des bâtiments dessus. Il semblerait que tous les bâtisses qui sont sur ce pont ne sont seulement que des boutiques qui vendent des bijoux. On m'a dit qu'il y avait eu une loi qui interdisait les commerçants de vendre autre chose lorsqu'ils y ont pignon sur rue. Il faut que j'aille vérifier ces dires.

Nous avons aussi visité la cathédrale dont la coupole fût créer par Filippo Brunelleschi qui est considérer, par certain, comme le père de l'architecture moderne. Il est le premier qui pu faire des plans qui représentait les dimensions réelles d'un bâtiment grâce aux techniques de proportionnalités qu'il avait appris lorsqu'il était à Rome. J'ai vu un documentaire là-dessus sur Discovery, mais ça fait longtemps alors il faut aussi que je fasse des recherches là-dessus avant de vous raconter des niaiseries. Il y a 463 marches pour se rendre en haut. J'avais dit 436, mais je m'étais trompé (a vrai dire, je l'avais lu quelque part). Pour avoir la chance de monter des marches, il faut payer 8 euros. Une fois qu'on a payer, il faut en suer un coup pour arriver au premier palier, il y a trois paliers au total, deux à l'intérieur et un à l'extérieur. Cette coupole est spéciale car elle est la première à avoir été bâtie avec un espace entre le toit et le plafond. Il y a donc un espace entre les deux et c'est là que les escalier sont situés lorsqu'on arrive à la coupole. Cette coupole est la première a avoir été bâtie sans échafaud. Généralement, ils montaient un échafaud qui soutenais le poid de la coupole lorsqu'elle était bâtie. Pas cette fois-ci, il a tout simplement monter les arches, puis il a fait monter un squelette entre les arches, puis il fait monter le toit et le plafond. Pour pouvoir créer la coupole, il dû créer de nouveaux outils et modifier des outils existant pour les rendre plus efficace. Lorsqu'on arrive dans la coupole même, on y voit une fresque qui représente l'enfer et le paradis. Les dessins en bas de la fresque représentent l'enfer et plus on monte dans la coupole, les dessins ont moins en mois de démons et de plus en plus d'anges.

C'est assez surprenant que la monté n'ait pas été trop pénible à faire. Je dirais même qu'elle a été facile. Il y a quelque jours, alors que j'étais à Amalfi, j'ai grimpé la montagne pour allez prendre une photo du cimetière près de l'hôtel et j'en ai pomper une shot comparée à la monté dans la cathédrale. Alors que l'escalier pour se rendre au cimetière est beaucoup plus court. Ça doit être à cause de l'altitude, de la chaleur, de la bière que j'ai bue durant le lunch ou la combinaison des trois. Pour ce qui est de la montée dans la coupole, cela en vaut la peine.

Une autre chose à propos de Florence, c'est qu'il y a des statues célèbres un peu partout dans la ville. Il y a un musée qui a une partie des œuvres qui sont exposée à l'extérieur, des copies bien entendue. Il en a beaucoup, mais la plus célèbre d'entre elle est "David" de Michaelangelo. Florence est très différentes des autres villes que nous avons vues en Italie. Alors que San Gimignano est très médiévale, avec des petites rues qui sont toutes courbées pour donner une impression qu'elles sont beaucoup plus longues, qu'Amalfi n'est que plein de chemins de campagne, qui courent le long des montagnes, et deux rues qui ont plein d'escaliers et d'allées, qui montent tout le long des côtés de celles-ci pour atteindre les maisons, que Rome est un labyrinthe avec aucune rue droite qui est longue de plus de quatre coins de rues. Florence elle est composée en majorité de rue perpendiculaires avec quelques rues qui bifurquent vers les piazzas. Les rues sont larges et droites pour la plupart. Dans le centre de la ville, il est interdit de se stationner et les rues sont toutes piétonnières. Pour se rendre aux hôtels, c'est donc un peu compliqué. On peut pas rouler vite car il y a toujours des touristes qui regardent partout sauf derrière eux pour voir qu'il y a une auto. Comme il interdit d'y stationner, il faut donc donner notre voiture à un valet qui va la stationner pour nous. Les hôtels s'en occupe généralement pour nous. Le valet doit donner le numéro de plaque à la police locale pour ne pas qu'ils remorquent les voitures qui appartiennent aux touristes. Lorsqu'on se promenait, j'ai vu un stationnement où ils gardent les voitures. Ils ont des lifts où les voitures sont juchées et ils mettent une voiture juste en dessous. J'ai pas vraiment vu de vielles voitures dans le cœur de florence. Mais j'aimerais pas être le propriétaire d'une Porches qui a une Fiat qui perd de l'huile qui est garée juste au dessus.

Une autre différence majeure entre Florence et Rome, c'est que la ville a un air différent. Alors qu'à Rome, c'est plein de gitans font les poches pour vivres. Florence semble très sure comparée à celle-ci. Les magasins fermaient la plupart à 20h00 le soir. Alors nous sommes allez souper, puis entrer de bonne heure. Nous voulions profiter d'internet gratuit et avoir une bonne nuit de sommeil. Comme l'hiver est inexistant ici, les fenêtres n'ont pas d'isolation adéquate et c'est seulement du bois sur du bois. Donc jusqu'aux petites heures du matin, il y avait des fêtards qui parlaient forts en marchant avec des souliers à talons haut sur des rues en pavées juste sous notre fenêtres. À 7H, il y avait des employés de la construction qui lançaient des tuyaux d'aluminium à terre, ce qui réveille très bien. En tous cas, ça nous a permis de partir de bonne heure le matin pour visiter le dôme.

2009/09/23

Retour d'Amalfi, voyage vers Florence, 22-23 septembre

Je vous ai déjà dit que les Italiens ont un sens de l'organisation qui est spécial? Ce qui est drôle est qu'ils arrivent quand même aux résultats escomptés (ou presque). Notre départ d'Amalfi était presque parfait. On savait pas à quel heure le gars venait nous chercher. Il a fallu appeler à l'agence qui organisait le voyage pour savoir qu'il serait là à 14H30. Il est arrivé à l'heure, il a roulé en fou jusqu'à Pompéi pour qu'on puisse rejoindre un tour qui nous retournait à Rome. On est arrivé à 15h30 et le tours retournait seulement à 17H00. Commme on est en Italie, c'est à 17H30 qu'on est parti, pour retourner prendre d'autres personnes à Naple. On est donc parti de Naple à 18H30 (car Naple est à 20 minutes de Pompéi). Le voyage prend 3 heures pour retourner à Rome, ce qui veut dire qu'on est arrivé à 10h00 à l'hôtel.

Nous devions prendre notre voiture, une Alpha Roméo, à 8h30 le matin, pour deux jours. Mon but était de prendre possession de la voiture, de la laisser dans le stationnement et d'aller voir le collisé. Mais on est en Italie. Arrivés à l'agence AutoEurope, ils ne trouvent pas ma réservation. Comme j'ai une réservation de 2 jours. Je leur dit de checker pour le lendemain. Et Bingo, ils ont ma réservation d'une journée. Elle me dit qu'elle n'a pas de voiture, qu'elle a déjà parlé aux autres succursales de l'agence plus tôt ce matin et qu'ils n'ont rien. J'ai déjà payer pour l'auto, j'ai une réservation à Florence en Toscane, qui est déjà payée aussi. Je la regarde dans les yeux et lui dit, "I have a reservation in Firenze tonight, find me another car". Elle me répond "Si, I wille see whatte I canne do". 15 minutes plus tard un gars de l'agence prend son auto, qui avait la radio branchée sur un poste qui jouait du Céline Dion, pour nous emmenés à une autre succursale. Pas d'Alpha Roméo, juste une BMW 320D.

Disons que le temps qu'on ait tous finis à la succursale, il est déjà 10H00. On dirait que le collisé de Rome sera pour une autre fois. Le gars de l'agence nous dit comment sortir de Rome pour se rendre à Florence. C'est simple, prend telle route, suis telle route, tourne à gauche, puis à droite et une autre fois à gauche, prend l'autoroute et t'es rendu. Comem la BMW est un peu plus petite que prévu (en fait, ma femme a apporté trop de choses, mais faut pas le dire), il y a trois valies sur le sièges en arrière avec deux personnes. Une chances que le formats des trois dames qui m'accompagne est: petite, très petite et minuscule. Une chance qu'on a pas de luter Sumo qui voyage avec nous. Il aurait fallu l'attache sur le capot de la BMW.

Avez vous déjà entendu le proverbe que tous les chemins mênent à Rome. C'est supposé vouloir dire qu'il y a plusieurs moyen d'atteindre le même but. Je crois qu'ici c'est litéral. Lors de l'empire Romain, ils construisaient des routes qui partaient de Rome pour allez dans toutes les directions de l'empire Romain pour permettre aux légions de voyager rapidement et aux commerce de ce faire dans la direction de Rome. Si ce proverbe est vrai, alors quand on est à Rome, que font les routes? C'est bien simple, elles mènent à Rome. Comme on est déjà à Rome et que les routes mènent à Rome, il est donc impossible de sortir de cette foutue ville. Il a fallu tourner en rond durant une heure pour atteindre l'autoroute. Comme c'est une vielle ville, aucune rue n'est droite et c'est plein de sens unique. On a trouvé la rue qu'il nous fallait en 15 minutes et ça a pris un autre 45 minutes pour pouvoir la prendre dans le bon sens.

Arrivés sur l'autoroute. Comme j'ai une BMW, j'en ai profiter pour aller à une vitesse raisonnable (entre 140 et 160 km/h). Arrivé à Florence, on s'est rendu compte que c'est aussi une vielle ville. Pas de rue droite, plein de sens unique. Après quelques secondes dans la ville, on voit une succursale de la compagnie qui nous à louer la voiture. Après le premier coin de rue qu'on a pris et qu'on était pas sur. J'ai viré de bord pour allez à la succursale. Après avoir attendu qu'il ait fini avec un client, j'ai demandé au gars derrière le comptoir une carte de la ville et comment me rendre à l'hôtel. Il nous dit qu'il est impossible de s'y rendre, que toute cette section de la ville est barré à la circulation et qu'on devrait appeler l'hôtel pour leur demander quoi faire. Saviez vous que les Européens sont les personnes qui ont le plus de téléphones cellulaire? Et saviez vous que le nombre de cabine téléphonique est généralement inversement proportiennel au nombre de téléphone cellulaire? Pas de cabine téléphonique à portée de vue.

Je prend donc la décision qu'on vas le plus proche de l'hôtel et qu'on se rendra à pied à l'hôtel pour leur demander quoi faire. Après un tout petit tournage en rond dans Florence. On atteint un coin de rue qui est assez proche de l'hôtel où il y a des signes qui disent qu'il est interdit d'entrer. Il y a plein de voiture qui entre mais bon... Pourquoi prendre la chance alors qu'on est très pret du but. Après une attente de 15 minutes dans l'auto, Régina revien me dire qu'on peut se rendre, mais qu'on peut pas se stationner dans la ville. Mais pour un montant de 30 euros, ils se feront plaisir d'allez stationner la voiture pour nous et qu'il retourneront la chercher quand on en aura de besoin. VENDU.

18H30 enfin rendu à Florence dans notre chambre d'hôtel. On a juste le temps d'aller voir ce qu'il y a dans les environs de notre hôtel. Ce qu veut dire TOUT. On est à 5 minutes de marches du "Ponte Veccio", le pont de Florence qui a des boutiques dessus, 5 minutes de plusieurs musées et juste à côté de la piazza del Duommo où les située la cathédrale qui est couronnée par la coupole de Brunelleschi. Peu importe où l'on se promène dans ces rues, on sait que Leonardo DaVinci s'y est promené avant nous.

Demain matin nous allons voir encore un peu plus la ville, mais je sais déjà que la toscane est un très bel endroit. Contrairement à Rome, cette ville est très propre et il n'y a pas de gitans qui vous mettent les mains dans les poches aux 10 minutes.

Amalfi, Italie, 21-22 septembre

Amalfi est une petite ville qui est située sur la côte d'Amalfi. La côte d'Amalfi est des grosses pentes rocheuses où des citronniers poussent partout où il y a de la terre. Pour augmenter l'espace cultivable, ils ont transformer les rochers en marches de 6-8 pieds de hautes, grâces à des roches et du ciment dont ils font des murs et qu'ils remplissent de terre. Ce qui permet de faire de la place pour plus de citronniers. Quand la surface n'est pas adaptée pour faire des marches, il construisent des maisons ou des rues à flanc de montagnes.

Notre hôtel était le "Excelsior" qui est situé à plusieurs centaines de mètres de hauts. Je ne suis pas certain de la hauteur, mais quand on regarde en bas de son balcon et qu'on voit la pente, ça à l'air très haut. Cet hôtel est comme tout le reste, en flanc de montagne. Il est donc très mince et fait en longueur et en hauteur. Pour se rendre à notre chambre à partir de la réception, il faut descendre deux étages, sortir dehors, faire une centaine de mètres, prendre un ascenseur ou des escaliers, pour aller un autre dix mètres plus bas. Ensuite, il faut passer une petite bâtisse où il y a trois chambres, passer devant les trois chambres, prendre un escalier qui descend d'un autre 4-5 mètres, entrer dans la bâtisse où notre chambre est, prendre l'escalier, descendre d'un étage et on est arrivé. En passant il y a encore un autre étage plus bas dans la bâtisse. Cet hôtel est vieux, mais joli. D'ailleurs comme tous les bâtiment d'ici. Les murs sont minces comme du papier, quand les personnes au dessus de nous marchaient avec des talons, nous pouvions les entendre. Quand les voisins flushait, nous pouvions aussi les entendre. Comme j'ai dit, c'est vieux. Notre déjeuner et notre souper étaient inclus pour les deux jours où nous y étions. Déjeuner standard d'un petit hôtel. Le souper, il n'est pas standard, je dirais même qu'il est superbe. En Italie d'après ce que j'ai pu constater dans les restaurants, il y a toujours deux services lors du souper et du dîner dans les bons restaurants. Ceci sans compter les entrées et le dessert. Ça fait donc 4 services pour un repas. Les entrées est pas mal standard des restaurants (qui ont de la classes) qu'on connais tous. Le premier service est celui qui à les pâtes. Le deuxième service est généralement de la viande. Pas de pâtes disponibles au deuxième service.

Pour descendre en ville, que l'on voit très bien de l'hôtel, on pouvait prendre des marches ou une navette de l'hôtel, qui est gratuite. Hum.... 200 marches, plus une centaines de mètres dans un sentier fait pour des ânes à 35 degrés ou s'assoir dans un autobus climatisé durant 15 minutes? Devinez comment nous sommes descendus en bas. Cela prend 15 minutes pour se rendre en bas car les montagnes étant trop escarpées pour avoir des routes en lignes droites (je veux dire 45 degrés), il faut que les routes zigzaguent le long des montagnes. Pour se rendre au pied de notre hôtel, il faut passer par une autre montagne. Je vous niaises pas, on zigzag durant 5 minutes pour passer sur un petit point qui passe par dessus un chute d'eau, pour zigzaguer encore plus pour repasser sur un autre pont qui est presque 50 mètres plus bas et quelque mètres plus loin du premier. On zigzag encore pour arriver en bas de notre hôtel qui est à l'entre de la ville. Dire qu'Amalfie est une ville est bizarre, c'est plus un gros village. Il y a la rue qui suit la côte (en zigzagant) et il y a une rue qui est perpendiculaire à cette rue, qui monte dans la vallée entre deux montagnes. La rue qui monte dans la vallée est entourée d'allée piétonnières, qui sont parcourues d'escaliers pour monter des deux côtés de celle-ci. La rue principale bien que piétonnière a des voitures qui la parcoure. Il y a un feu de circulation en bas et un en haut. Quand le feu tourne au vert en bas, celui d'en haut est au rouge. Les voitures, avancent lentement en essayant de ne pas écraser les piétons qui tentent de se coller sur les murs de boutiques et maisons qui donnent sur la rue. Quand le feu tourne au rouge, cela prend un certain temps pour que celui d'en haut tourne au vert pour s'assurer qu'il n'y a plus de voitures dans la rue. Puis il tourne au vert et les voitures d'en haut descendent en essayant de ne pas écraser les piétons. Puis le cirque recommence. Comme les voitures roulent lentement, il y a presque 5 minutes entre les voitures d'en haut et celle d'en bas. Quand tu manques ton feu vert. Il te faut un bon dix minutes pour faire le 200 mètres qui sépare le feu de circulation d'en haut à celui d'en bas. À chacune des allées, il y a des signes qui donnent la direction et la distance en mètres d'hôtels et de restaurants. Comme la pluspart des touristent restent dans la rue principale, les restaurants sont souvent plus cher et ils ont de la nourriture un peu moins italienne. Nous avons vu un menu d'un restaurant qui s'appelle Maccus qui était en haut d'un escalier à 25 mètres de la rue. Nous avons décider d'y aller pour dîner comme le reste était plein, pas bon ou trop cher. Arrivé en haut de l'escalier, il fallait prendre un autre escalier à droite puis suivre une allée pour se rendre dans une "Piazza". Je met le mot Piazza entre guillemets parce que ma chambre d'hôtel de Rome est plus grosses que celle-ci. Le restaurant est excellent, le service est génial et c'est loin des gros touristes qui chialent parce qu'ils n'ont pas de MacDonald dans la ville.

Amalfi est au centre de plusieurs petits villages, de grottes et de sentiers de randonnées. J'estime qu'une a deux semaines est nécessaire pour faire le tour de la région. Ça permettrait aussi d'aller en bateau à Capri qui n'est pas tellement loin. De voir Piedmonte, Pompéi, Naple, d'essayer tous les vins locaux qui viennent soit en format de 750 ml ou 375 ml, de faire des randonnées, de voir les grottes, dont celle de "Smeralda", d'essayer la boisson locale, le limonchelo qui est une boisson de type "shooter" et qui est faite à partir de Citron (qui poussent partout) et surtout d'essayer Maccus qui est un restaurant génial. En revanche, les plages sont à chier (sale et en gravier) et je vous conseille de louer une mobylette, si nous n'avez pas le cœur sensible pour faire le tour des villages environnants. L'hôtel excelsior est un peu rustique, mais les personnel est gentil et serviables, la nourriture est excellentes et la vue est la meilleure des hôtels d'Amalfi. Alors je vous laisse choisir pour l'hôtel, c'est entre des très bonnes nuits de sommeils ou des matins à prendre un café sur une terrace qui surplombe une ville qui est magnifique alors qu'on entend des chèvres et un coq chanter.

En tous cas, nous avons décider d'y retourner dans quelques années et cette fois nous y resterons une semaine ou deux.

2009/09/21

Naple, Pompéi et Le voyage vers Amalfi, 20 septembre

Départ de Rome

Nous partons pour un tour de 3 jours à Naple, Pompéi et Amalfi. Il fallait donc se lever à 6H30 pour être pret à partir à 7H car la compagnie qui organise le tour venait nous chercher de très bonne heure. Comme nous valises sont très grosses, nous avons acheter, à Pise, une petite valise qui nous permettra de voyager léger. Nous avons laissé nos petites valises à l'hôtelde Rome car nous allons y retourner après notre d'Amalfi. Quand une jeune femme viens nous chercher à l'hôtel, elle nous demande si c'est un tour d'un jour. Ça fait un peu peur quand ça arrive. Ils sont pas trop organisés ici. Chaque fois qu'on va au restaurant, il y a toujous des erreurs sur la facture. Comme vous pouvez le deviner, cela rempli de confiance dans leur capaciter d'organiser des choses. Arrivés à l'autobus, il y a un homme seul, dans la soixantaine qui est dans l'autobus. Nous partons vers un autre hôtel pour allez chercher d'autres personnes. Après quelques minutes d'attentes, après la dame qui va chercher le monde, le chauffeur l'appel, puis ils parlent (s'engueulent) au téléphone une couple de fois. Puis la femme revient sans les personnes. Nous repartons et après 2-3 minutes de routes, nous arrètons dans une "Piazza" où quelques autobus attendent. Après avoir débarqués, la dame nous dirigent tous les 5, l'homme de la soixantaine et nous 4, vers un autobus. L'homme entre dans l'autobus, alors que nous donnons nos réservations aux personnes devant l'autobus. Comme nous avons deux réservations différentes, une à mon nom, pour deux personnes et une au nom de Marselina, elle aussi pour deux personnes, une autre grande preuve de la capacité d'organisation des Italiens montre le bout de son nez. Le gars prends les deux papiers, regarde le premier pendant 5 minutes pour essayer de comprendre quel tour nous devons prendre. Pendant que Régina lui explique que c'est celui de trois jours à Amalfi, il a l'air fourré. Finalement la première femme vient à notre secour, lui explique tout et une petite, très petites, ampoule s'allume au desus de sa tête. Ils nous fais donc signe de passer, puis il se tourne vers Marselina et lui demande son papier (qu'il tient dans les mains depuis 5 minutes). Régina lui explique que c'est l'autre papier. Un est en couleur, l'autre est en noir et blanc, les deux sont en anglais. Là, il ne comprend plus rien. La petite madame lui explique encore les faits de la vie et enfin il comprend. Donc on peut donc tous entrer dans l'autobus, comme j'ai pas déjeuner et qu'on ne peut manger dans les autobus, je restes pour manger une pâtissereis que nous avons achetée la veille. Quand j'ai fini, j'entre dans l'autobus. Il est plein à craquer. Quand je dis qu'il est plein, je niaise pas. Il reste un siège de libre. Dans le fond, il y a toujours 5 sièges au lieu de 2 d'un côté et 2 de l'autre, celui qui est libre est celui qui fait face à l'allée dans le fond. Alors que je vais m'assire, je vois Régina qui est assise avec une femme au trois-quart du fond, alors qu'Agnes et Marselina sont assises dans la dernière rangée. Je vais donc m'assoire avec elles. Quand j'arrive au fond, je comprend pourquoi Régina ne s'est pas assise à côté d'elles. Un gros américain est de l'autre côté. Je m'assois entre l'américain et Agnes et comme il est très gros et qu'elle est minuscule, je suis assis en angle. Il y a un autre couple d'américain dans la rangée juste en face de ceux qui sont assis à côté de moi. Devinez ce que les deux américaines font? Si vous avez dit, parlez, vous avez droit à une "petite étoile". Pendant qu'elles parlent, Une guide nous explique, en anglais, en espagnole et en allemand, que notre voyage durera 3 heures pour se rendre à Naple. Je me dis que le voyage sera très long. Après avoir entendu le gros américain ronfler durant un bout et avoir quasiment écrasé Agnes, je me dis que je vais me coller sur le gros américain, toucher la peau d'un autre homme, devrait l'écoeurer et il devrait se tasser sur sa femme et l'écraser elle et non moi. On dirait bien que j'ai la peau douce et que je sois confortable. Ça ne l'a pas déranger pour deux cennes que je me colles dessus. Alors c'est moi qui a pris mon trou et qui s'est assis tout croche durant le voyage.

Naple

On arrive enfin à Naple, on débarque dans le port et le groupe se sépare en trois, le premier groupe s'en va à Capri. Le deuxième va faire le tour de Naple avec un guide qui parle allemand, alors que nous nous allons faire le tour de Naple avec un guide qui parle espagnole et anglais. Le tour prends une heure et on retourne à l'autobus. Bien que le guide à donner beaucoup d'explications, c'est pas mal trop court comme visite. Le point fort de la visite de Naple est lorsque le gros américain s'est presque fait mordre par un cheval. Lors de notre visite nous avons vu des ruines romaines qui ont été découvertes lors de l'expension du métro, ce retardera le métro d'une couple d'année, le palais royale, l'opéra de Naple, une église sur une Piazza dont le nom m'échape et l'ancien mur du palais royale lors de notre retour à l'autobus.

Pompéi

Comme Naple est au pied du Vésuve, le volcan qui a détruit Pompéi, le voyage n'est pas long. Seulement une vingtaine de minutes était nécessaires pour se rendre à Pompéi. Arrivés à Pompéi, ils nous font visiter un magasin de caméo. Ils nous montres comment ils font les caméos, en 5 minutes, puis ils nous lâches lousses dans leur magasin. Après un certain temps, on va prendre le dîner dans un restaurant qui est au pieds des ruines. Comme c'est des tables de 6 personnes, l'homme qui était seul et qui nous attendais dans l'autobus le matin nous demande s'il peut s'assoir avec nous (vous l'aviez oublié celui-là). Durant le dîner, il nous racconte que c'est la quatrième fois qu'il vient en Italie, que c'est la première fois qu'il vient dans le coin de Naple et qu'il vient suivre des cours d'Italien chaques fois qu'il vient ici. Il nous donne de bons conseil concernant Florence, que nous visiterons dans quelques jours. Puis à la fin du repas, nous commençons la visite des ruines de Pompéi. La ville de Pompéi fut détruite deux fois, la première fois par un tremblement de terre, la ville fut reconstruite par ordre de l'empereur Neron. La deuxième fois, elle fut détruite une bonne fois pour toute par l'éruption du Vésuve. Voici sa petite histoire en 30 secondes.

Les grecs sont venues et ont construits un petit poste de traite pour faire du commerce avec les locaux. Après un certain temps, la ville était assez grosse, avec des temples et tout ce qu'il faut pour avoir une bonne ville. Plus tard les Étrusques ont aggrandis la ville, puis les Samsonites sont descendus des montagnes, ils ont sacrés une vollés à tout le monde et ont pris le contrôle de la ville. Les Romains ont arrivés et ont renvoyés les Samsonites à coups de sendales dans l'arrière train. Il y a eu un tremblement de terre qui a raser la ville. L'empereur Neron a décider que la ville serait reconstruite. Le volcan qui est à 7 kilomètres a eu une petite indigestion. 3000 personnes sont mortes sur place dans la ville à cause des fumées toxiques. Le restes de la population a cramer, alors qu'ils tendaient de fuire le volcan, lorsque une couche de cendre brulante d'une vingtaine de pieds d'épaisse, s'est gentiment déposée à une vitesse fulgurantes.

Ce qui est bien durant le tour, c'est qu'on a appris la différence entre les colones grecques et le colones romaines. Quand on les regarde, elles sont presques semblables, mais les grecques sont faites de gros bloques de granite qui sont stackée une par dessus l'autre. On peut voir des lignes horizontales quand on les regardes de pret. Les Romains sont un peu plus intelligents. Ils les fonts en briques, ils les recouvrent de stucko et ils finissent le tout en les recouvrant de poussière de granite. C'est pas mal moins cher et plus facile pour faire une ville. Pompéi avait une place centrale qui était cernée de plusieurs temples. Il y avait 4 rues majeures qui fesait un genre de tic-tac-toe et plusieurs petites rues qui partaient des 4 grandes rues. Nous y avons vu des petites maisons, des maisons énormes qui avaient l'eau courante et des jardins intérieurs, des bars, des magasins, des bains publiques et des temples. Lorsqu'ils ont découvert Pompéi, les personnes qui étaient mortes en villes avaient été enterrées par les cendres. Durant les siècles, les chaires se sont décomposées et il est resté une cavité qui contenait seulement les os. Les archéologue ont décider de pomper du platre dans les cavités pour faire un moule des corps. On peut donc voir le moule des corps des personnes qui sont mortes durant l'erruption. Il y a aussi un moule d'un chien qui est mort.

La ville n'est toujours pas fini d'être excavée, seulement le deux-tiers est maintenant à jour, mais le site est déjà énorme. Il y avait quand même 30 personnes qui y vivaient.

Une chose qui est comique est qu'il y a encore plein de chien qui y vivent. Ils se prélassent au soleil durant la journée et vont se cacher dans des édifices, tels que des bains publiques quand il fait trop chaud.

Pompéi est une place a voir. Prévoir une journée complète pour la visite.

Voyage vers Amalfi

Amalfi est une petite ville qui est située sur la côte du même nom. Pour se rendre, il faut passer des montagnes. Ce qui veut dire qu'il faut monter le long de falaise faire un 180 degrés, faire un autre bout, faire un autre 180. À toutes les 3 minutes il faut se déboucher les oreilles. Il y a toujours une Fiat qui roule lentement en montant les pentes. Alors le monde dépassent dans les courbes en roulant comme des fous pour essayer de passer la Fiat avant de pogner le 180 degrés. C'est seulement un 50 kilomètres, mais c'est drôle comment personne ne parles fort pour être sûr de ne pas déranger le chauffeur.

Notre hôtel est situé en haut de la ville et nous avons une vue plongeante sur elle. Nous allons là visiter durant la journée. Je vais vous en parler lorsque nous en partirons. Un point intéressant est que le chauffeur avait seulement un couple, ma femme et moi sur sa liste qu'il devait conduire à Amalfi. Il a fallu que la guide lui explique qu'on était ensemble. Sa liste était écrite à la main. Alors il a oublié Marselina et Agnes.


NDLA: Je parles beaucoup du sens de l'organisation des Italiens, mais c'est quand même impressionnant de voir comment ils arrivent à faire que ça marches quand même bien avec aussi peu d'organisation.

2009/09/20

Rome, le Vatican, 19 septembre



Nous avons deux jours non consécutifs à Rome. Le premier jour nous allions au Vatican, puis nous allons passer 3 jours à Amalfi, sur la côte du même nom et nous retournerons à Rome pour y visiter les ruines.

À la fin de la croisière, nous avons été directement à Rome. Pour nous y rendre, nous avons pris une navette Régina et moi car nos bagages sont très lourds, moyennant rémunération bien sûr. Agnes et Marselina ont pris le train pour se rendre à Rome, car leurs bagages sont de tailles raisonnables. Lorsque nous nous sommes rejoint à l’hôtel, nous avons visité le Vatican après un bon petit repas. Le Vatican et son musée sont très beaux et ils valent la peine d’allez les visités. Mais c’est assez troublant d’y allez. Tous ceux qui comme moi ont grandi (plus ou moins) dans la foi catholique, ont appris qu’il faut être humble, que les pauvres iront aux cieux. Je n’ai jamais vu autant d’opulence, de tapisserie, de peintures et de sculptures de maîtres. C’est vraiment « fait ce que je dis, pas ce que je vais » qui prédomine ici. À notre arrivée à la place St-Pierre, il y a une file d’attente d’au moins 150 mètres. Je me dis que ça va prendre au moins 2-3 heures pour entrer dans la basilique. Comme je ne veux pas partir de chicane, je ferme ma gueule. 15 minutes plus tard, on entre dans la basilique. WTF??? Ça nous prenais plus de temps pour sortir du bateau de croisière pis ils n’avaient pas de détecteurs de métaux à la sortie du bateau. Ici, ils passent plus de monde dans une fraction du temps. Princess Cruise devrait envoyer du monde ici pour apprendre comment faire la job.

Après la basilique, nous sommes allez voir le musée du Vatican. Ils ont une collection impressionnante. Ils ont une salle complète dédiée à Michel-Ange. Ils ont des expositions permanant, dont une d’artéfacts Égyptien. La chapelle Sixtine est située dans le musée, à la fin pour être plus précis. Donc beaucoup de monde courent pour se rendre à la chapelle et y restent longtemps. Vous pouvez donc en déduire qu’il y a du monde en titi dans cette chapelle. On est supposé être silencieux, mais il y a toujours un murmure en bruit de fond. Selon moi, la chapelle Sixtine n’est pas ce qu’il y a de mieux dans le musée. Mais c’est ce qui a de plus populaire.

À la sortie, nous sommes allez voir la fontaine Trévi (oui oui comme les piscines), qui est un attrait touristiques de Rome. C’est une fontaine magnifique qui a plusieurs statues et qui occupe toute la façade d’un édifice.

2009/09/18

Livorno, Italie, 18 septembre

Arrivés à Livorno en Toscane, qui est le troisième port le plus gros d’Italie, de très bonne heure le matin, nous avons quitté le navire à 8H le matin pour allez visiter la toscane. Comme nous allons revenir plus tard, lors de notre voyage en Italie, nous n’allons pas voir Florence ce voyage-ci. Nous allons plutôt voir trois endroits. Le premier étant le village de San Gimignano, puis nous allons visiter un château où est produit du vin et de l’huile d’olive et nous allons finir à Pise, pour voir la tour.

San Gimignano

San Gimignano est une ville médiévale qui a 12 tours, elle comptait plus de 70 tours à son apogée, mais il y eu un décret qui interdit aux personnes d’avoir des tours plus hautes quel’hôtel de ville, donc toutes les tours sauf douze dont l’hotel de ville ont été détruite. Pour s’y rendre il faut près d’une heure et demie à partir de Livorno. Bien qu’elle ne soit pas si éloignée de Livorno, les petites routes et les collines de la toscane rend le voyage un peu plus long. Tout le long du voyage, notre guide nous explique la culture du vin, de l’huile d’olive et des pâtisseries locales. Elle nous raconte l’influence que les Étrusque (pas sur de la traduction), les romains et de la renaissance ont eus sur la Toscane. Arrivés en villes, à 10H du matin, les trois petites madames, Régina, Agnès et Marselina vont s’engouffrer dans une « Pasteria » pour allez s’empiffrer de pizzas et d’autres délices de la région. Moi je pars à la rencontre de San Gimignano tout seul. Toutes les rues sont escarpées et sinueuses, entourées de bâtiments fait de pierres datant du pour la plupart du 11e siècle. Si certains d’entre vous se demande pourquoi les rues des vielles villes sont toujours sinueuses, c’est fait pour donner des impressions de grandeur. Ne pouvant jamais voir la fin de la rue a cause d’une courbe légère donne un sentiment d’horizon, faisant croire que la rue est très longue. Je parcours la ville qui est très petites en une heure a peine. Ok, je marche vite et je n’entre pas dans les boutiques donc ça aide à visiter rapidement. Parmi les attraits de la ville, il y a plein de musées, de boutiques de vin, de fromages, de pizzas, de desserts locaux et de sangliers, qui une spécialité locale. Les trois dames me rejoignent plus tard, je refais le tour d’une partie de la ville avec Régina avant d’allez acheter des petits gâteaux pour la route.

Castello di Oliveto

Le « Castello di Oliveto » est un manoir qui fut bâti au 15e siècle par la famille Pucci et est situé en Toscane dans le compté de Chianti. Durant son histoire, trois papes y ont séjournés. Clément VII Medici y resta en 1533, après été prié sur la tombe de Saint-Verdiana, car sa famille avait des liens avec la famille Pucci. Paul III Farnese, retournant de Nice après une rencontre pour essayer de réconcilier l’empereur d’Autriche et le roi de France, y resta pour 17 jours en 1541. Pour le reste de sa vie, il fit venir à Rome du vin en grande quantité de cet endroit à chaque année. Leonne X Medici, lorsqu’il était Clément VII, y resta aussi lors du retour d’un pèlerinage sur la tombe de Saint-Verdiana. Maintenant plus personne n’a la chance d’y rester. Mais il est possible d’y allez pour visiter le domaine de 750 hectare pour y faire des dégustations de vins et faire des banquets. Nous avons visités la cave a vin, qui a été agrandie et empiète maintenant dans l’ancien donjon.

Pise

Pise, Pise, Pise. Ville est connue mondialement à cause d’architectes qui n’étaient pas capable de faire leur job comme du monde. Il y a plein de vendeurs Africains qui vendent de la marchandise contrefaite, é l’extérieur. L’acheter encoure une peine de 500-10000 euros. On arrive-là pour y voir la tour qui penche. Il y a une cathédrale qu’on peut visiter, en payant. Il faut réserver au moins 24H à l’avance et payer pour visiter la tour. Il y a plein de vendeurs à l’intérieur, qui sont légaux, à l’intérieur des murs. Le seul point intéressant est de voir tout les totons qui prennent des photos en faisant semblant de tenir la tour. NDLA : je suis rendu un toton moi aussi. La seule chose qui est intéressante à voir est qu’à partir du troisième étage, la tour a commencée à penché alors ils ont décidé de faire le 4e étage droit. La tour a penchée un peu plus, ils ont fait le 5e étage droit, la tour a encore pencher et ainsi de suite. Il y a donc une courbe dans la tour et les étages inférieurs sont plus penchés que les supérieurs.

La Toscane est une très belle région de l’Italie et j’ai hâte de voir Florence, là où Leonardo DaVinci a vécu une bonne partie de sa vie. Demain c’est la fin de la croisière.

2009/09/17

Canne, France, 17 septembre

Ha, la côte d’azure. Quel bel endroit. Une terrace, avec un pichet de vin rosé sous le soleil de la côte d’azure. Des Yacths qui valent des millions tout le tour. Il n’y a pas de meilleure description de la belle vie. Voici la petite histoire de Canne.

Canne fut fondé par des grecs qui y avaient un petit poste de traite. Plus tard, les Romains suivirent créèrent un village plus gros pour y faire du commerce. Le village fut construit en hauteur et eut des murs de pierres de construits autour pour se défendre des pirates. Canne resta un petit village de pêche jusqu’en 1834 lorsque Lord Brougham, un Lord britannique dû faire escale en route vers Nice car Nice était prise avec une épidémie de choléra. Il trouva Canne tellement belle qu’il décida d’y construire une villa, où il retourna durant les 34 prochaines années. D’autres britanniques fortunés vinrent, puis les Russes et les Américains. Vers la fin des années 40, ce fût le site du Festival International de Film, pour faire rivalité avec celui de Venise. Un fait intéressant a propos de Canne, c’est un port d’eau peu profonde qui a deux îles dans sa baie. L’île de Saint-Honorat qui y a un monastère qu’il est possible de visiter durant la journée, mais il faut le quitter la soirée. La deuxième île est l’île de Sainte-Marguerite. Sur cette île, il y a le musée de la mer. À sa création, ce fût une prison royale qui y reçut un prisonnier spéciale. Ce prisonnier était l’homme au masque de Fer. Celui qui est représenté dans des films dont celui avec les mousquetaires où Léonardo DiCaprio y tient la vedette.

Comme Canne est un port d’eau peu profonde, il est impossible au navire d’accoster. Il faut donc faire des navettes entre le bateau et le quai. Ce qui implique que le débarquement sera plus long qu’à l’habitude. Pour faire la navette, il navire utilise quelques bateaux de sauvetage. Comme il y en a un juste en dessous de notre cabine, il y a un raffut incroyable à 7H30 le matin pour que les bateaux de sauvetages soient mis à la mer. À notre arrivée à terre, notre guide nous emmène dans la vieille ville pour qu’on puisse y découvrir des rues très étroites dont les noms son souvent dérivées des entreprises qui fessaient affaire sur ces rues. Il y a une « rue du Barri » et une « 2e rue du barri ». Il faut croire qu’il y avait deux entreprises qui faisait des barris. Il y a aussi une église, au sommet de la colline, où il y a des chapelles qui sont privées. Des familles entretiennent ces chapelles depuis le 16e siècle. Le seul moyen de pouvoir avoir sa propre chapelle, il faut qu’il y ait une famille qui cède la sienne. Après le tour de la vielle ville, nous passons par un marché public, puis par une rue commerciale. Je commence à croire que les guides sont payés par les chambres de commerces pour nous faire découvrir les artères commerciales. Comme nous étions avec une gang de ti-vieux dans le tour guidé. Nous avons décidé de partir de notre coté pour allez plus vite. Ndla : ti-vieux n’entend pas quelqu’un d’âgé, mais quelqu’un qui marche très lentement, qui pose les mêmes questions sans arrêts, qui arrête à toutes les toilettes et qui chiale tout le temps.

Après s’être débarrassé des « ti-vieux », nous sommes allez faire du shopping, des macarons pour être plus précis. Puis nous sommes allez sur une terrace pour le dîner. Nous sommes arrivés à 11H45, ce qui est une bonne affaire. À 12H15, la terrace était pleine et il était difficile de se faire servir. Puis nous avons été nous promenés dans la partie la plus récente de la ville. C’est beau, mais il n’y a rien d’extraordinaire. Des magasins qui sont haut-de-gammes pour la plus part. Trois boutiques de Mont-Blanc à deux coins de rues, dont deux qui sont à une vingtaine de mètres.

C’est beau la côte d’azure, mais c’est cher. Visiter, oui, habiter, peut-être pas. Demain nous seront en Italie pour notre dernière escale avant notre départ pour Rome.

2009/09/16

Barcelone, Espagne, 16 septembre

Wow, Barcelone est vraiment une belle ville, il me faudrait un bon deux semaine ici. Malheureusement, je n’ai que quelque heure. Pour cette escale, nous n’avions aucune escale, alors à la sortie du navire, nous avons pris la navette fournie par l’équipe de la croisière pour allez au en ville. Quand allez, c’est être optimiste, c’est à 2 minutes en autobus. Une chance qu’ils nous ont chargé 5 $ US du voyage. Donc 10$ pour un allez-retour de 2 km. Ils font tout pour nous soutirer nos beaux gros dollars.

Nous sommes débarqués près du world trade center. Pour ceux d’entre vous que ne savez pas, chaque grande ville du monde a un world trade center, ceci inclus Montréal. De là, nous avons été à « La rambla », l’artère commerciale la plus populaire de Barcelone. Pour si rendre, nous avons passé près du mémorial de Chirstophe Colomb. Nous voulions y changer des chèques de voyages en argent et faire un petit tour sur internet pour voir nos réservations d’hôtels à Rome. Le mémorial de Christophe Colomb a une particularité, il pointe vers l’Italie au lieu de pointer vers l’Amérique. Ceci est peut-être dû au fait que ce mémorial a été donnée par les rois catholiques de l’Europe, alors il pointe vers le Vatican. À l’ouest de la rambla, il y a le cartier gothique qui contient la majorité des bâtiments gothiques de la ville. Lors de notre visite du quartier gothique, nous avons pu y voir plusieurs bâtiments qui sont assez incroyable. Parmi celles-ci, deux églises et la cathédrale de Barcelone. Cette cathédrale est gigantesque, en fait elle est si grosse, qu’elle a un jardin à l’intérieur de ses murs. Après la cathédrale, nous sommes allez manger des tapas avec une bonne sangria bien froide.

Après le repas nous nous sommes séparer pour allez visiter des choses différentes. Marselina voulait voir la « Sagrada Familia », une église désignée par Gaudi, un architecte fameux, Agnes voulait quant à elle allée voir le musée de Picasso et Régina et moi sommes allez au Zoo de Barcelone. Ce zoo est énorme et bien que cher, 16 euro pour l’entrée, il en vaut la peine. Il y a tellement d’animaux dans ce zoo. Cependant, il faudrait compter au moins 4-5 heures pour en faire le tour, nous n’avions donc pas assez de temps pour en faire le tour.

Barcelone est vraiment une belle grande ville, et selon moi, il faudrait planifier au moins 1 semaine pour y voir tous les places intéressantes. Au moins 2 semaines pour pouvoir apprécier tous les charmes de la ville.

Gibraltar, 14 septembre

Gibraltar est un territoire Britannique qui est situé au sud de l’Espagne et qui permet de contrôler le détroit de Gibraltar qui est à la croisée de l’océan Atlantique et de la Méditerranée. La géographie du territoire est composée d’un peu de terre et d’un gros rocher. Par gros rocher, je veux dire qu’il faut une vingtaine de minutes pour monter en haut en voiture et 5 minutes pour monter en haut par téléphérique. Ce territoire est donc d’une importance militaire stratégique et il le fût durant des siècles. En 711, un berbère du nom de Tarik Ibn Zeyan, débarqua à la pointe sud du Rocher. Il s’immortalisa en lui donnant son nom, car « Gibraltar » est dérivé des mots arabes « Djebel Tarik » (la montagne de Tarik). Ce fut le début de l’invasion de l’Espagne par les Maures qui resta islamique durant 6 siècles.

Notre arrivée à midi et notre départ à 18H30 voulait dire qu’on avait que peut de temps à terre. Comme Agnes n’avait pas eu son visa pour le territoire de Gibraltar, bien qu’elle en ait fait la demande près de 4 semaines avant le départ mais comme les employés de la « British High Commission » est une gang de slacker en Australie, Régina avait décidé de rester avec elle à bord du navire lorsqu’on serait à Gibraltar. Ce qui voulait dire que seulement moi et Marselina irait à terre. Notre tour incluait une montée en téléphérique au sommet, une visite de la caverne de St-Michel et les tunnels qui ont été creusées en 1779-1783 par les britannique lors du 14e sièges (de 16) de Gibraltar. Celui-ci par l’armée espagnole.

Comme cela arrive un peu trop souvent lors des tours guidés, nous partons avec du retard. Cette fois-ci, une demi-heure de retard. Notre guide et le chauffeur de notre autobus sont tous les deux écossais. Arrivés au pied du téléphérique, il y a une ligne monstre. Notre guide nous dit que la ligne est de près d’une heure et demie et nous suggère de dévier de notre plan original et d’aller directement à la caverne de St-Michel et de revenir plus tard dans la journée. Comme nous avons peu de temps à terre, nous acceptons rapidement.

La caverne de St-Michel

La caverne de St-Michel est une caverne naturelle qui a été trouvée par un explorateur romain. Durant les siècles qui suivirent, il y a eu beaucoup d’exploration de cette caverne et une autre entrée fut ouverte de l’autre côté. Cette caverne contient beaucoup de stalactites et de stalagmites. Une partie de la caverne avant un grand espace avec une acoustique parfaite pour les concerts, alors cette ouverture a été transformée en théâtre où des concerts de musiques classiques et militaires y sont joués régulièrement. Cette caverne fut transformée en hôpital durant les sièges que Gibraltar dû subir au cours de son existence.

Les tunnels du grand siège

Lors du grand siège de 1779-1783, l’armée britannique qui était commandée par le général Elliot, devait tenir le rocher à tout prix. Le général Elliot avait beaucoup d’expérience et savait qu’il serait facile de défendre cette position contre une armée qui y était supérieure en nombre. Cependant il savait aussi que le plus grand problème que son armée avait à faire face serait l’ennui et la discipline. Tous anciens militaires vous diront qu’un soldat qui n’est pas occupé est un soldat qui fait des niaiseries. Pour occuper ses soldats, il leur demanda de trouver des idées pour aider à défendre Gibraltar de l’armée Espagnole. Un soldat lui proposa de creuser des galeries d’où des cannons pourraient y être placées pour défendre Gibraltar. Le général n’y croyait pas vraiment, mais c’était un bon moyen d’occuper les hommes, alors il accepta. Au bout de 6 semaines, les hommes eurent creusé plusieurs mètres, décidèrent de faire une ouverture vers le flan de la montagne. Lorsque ce fut fait, le général Elliot se rendit compte que cette idée avait du sens. Alors ils creusèrent beaucoup plus profondément pour y placer plus de cannons. Lorsqu’ils eurent fini, ils commencèrent à ouvrir le feu sur l’ennemie qui comprit rapidement qu’il n’avait qu’un moyen de se prémunir de cette attaque, c’était d’être tellement proche du rocher que les cannons tireraient par-dessus eux. Un lieutenant du nom de Heller, eu l’idée de pouvoir incliner les cannons vers le bas pour pouvoir leur faire feu alors qu’ils étaient proche. Un autre lieutenant eut l’idée de vider les boulets de cannons pour les remplir de gravier et de bout de métal. Ce lieutenant s’appelait Shrapnel. Grace à ces défenses, l’armée Espagnole ne réussis jamais à prendre Gibraltar. Lors de la deuxième guerre mondiale, les tunnels furent agrandis pour pouvoir accommoder un plus grand nombre de soldat.

L’entrée des tunnels se trouvent au meilleur endroit possible pour y voir l’aéroport de Gibraltar. Cet aéroport est unique au monde car il y a une route qui traverse la piste d’avion. En effet, chaque fois qu’un avion décolle ou atterrit, le feu de signalisation tourne au rouge et la circulation arrête et attend que l’avion libère la piste. Durant le temps qu’on observait la piste d’avion, il y avait des personnes qui la traversaient à pied en même temps que les voitures. Alors que tous les aéroports du monde ont des moyens de sécurités incroyablement évolués, et fatigant, pour y enter. Celui-ci a des feux de circulation. C’est quand même incroyable.

Le téléphérique et le sommet

Après avoir visité tout les endroits que nous devions visiter, nous sommes retournés au téléphérique pour y monter au sommet. De là nous pouvions y voir le Maroc, l’Espagne, l’océan atlantique, la méditerranée et tout Gibraltar.

Une chose intéressante est que sur le rocher, il y a 6 familles de singes. Donc nous en avons une différente à chaque endroit que nous avons visité. Il y en avait une à la grotte de St-Michel, une à l’entrée des tunnels et une au sommet du rocher. Ils essayent de vivre là où il y a beaucoup de touristes, car là où il y a des touristes, il y a de la nourriture. Comme il est maintenant interdit de nourrir les singes, ils essayent de voler de la nourriture aux touristes et descendent maintenant en ville pour entrer par les fenêtres ouvertes et y voler de la bouffe. La ville de Gibraltar est très belle, malgré que les rues y soient très étroites et que pratiquement tout doit y être importé, donc y est très cher. Pour diversifier leur économies, Gibraltar se spécialise dans le commerce et il y est possible d’y immigré si l’on prouve que l’on possède des avoirs de plus de 1.5 millions de livres sterlings et qu’on y achète une résidence qui coute 400,000 livres sterlings ou plus. Que peut-on avoir pour 400,000 livres sterling? Un appartement neuf de deux chambre à coucher. Bien sur, il est interdit de louer cet appartement. Pourquoi quelqu’un voudrait vivre ici? Pas d’impôt sur le revenu. Donc quand on possède plus de 1.5 millions de livres sterlings, c’est un avantage intéressant.

2009/09/14

Lisbonne, Portugal, 13 septembre

Lisbonne, Portugal

Arrivés à 7H du matin. Nous avions booké un tour guidé de la ville de Lisbonne. Le tour guidé commençait seulement à 9H30. Nous avons donc eu le temps de prendre le déjeuner avant de partir. Comme notre tour se faisait à pied, nous avons pris un bon déjeuner. Notre tour a commencé dans le cartier d’Alfama. Vieux cartier qui à été fondé par des Visigots qui a été conquis par des Mores venus d’Afrique et qui finalement fût repris par les croisés lors de la deuxième croisade.

Le cartier d’Alfama est un très vieux cartier avec plein de petites rues dont la plupart ne sont en fait que des escaliers ou des allées où les voitures ne peuvent entrée. Dans ce cartier il y a, comme dans tous les cartiers de villes catholiques, une église Notre-Dame. La différence de cette église a avec les églises Notre-Dame que nous connaissons si bien et que cette église est aussi en fait une forteresse qui servait à défendre les habitant en cas d’invasion. La forteresse qui est bâtie sur une des collines de Lisbonne ne pouvait accueillir toute la population à cette époque. L’église a donc des murs très épais et le devant de celle-ci n’as pas de fenêtres que l’on retrouve généralement dans les églises, mais a plutôt des meurtrière, ces petites fenêtres qui sont plus large à l’intérieur qu’à l’extérieur. Pour permettre aux archers de pouvoir viser dans un grand angle tout en étant protéger dans ils n’offrent qu’une dizaine de centimètres de large aux ennemis. Les murs font plusieurs mètres de large et le devant de l’église est en haut d’une pente et a plusieurs marches à monter pour les atteindre. À l’époque le seul moyen pour défoncer les portes et les murs, était d’utiliser des béliers, qui sont en fait des gros troncs d’arbres avec un bout en métal que les hommes portaient en courant. La technique est que les envahisseurs auraient dû courir en haut d’une colline avec un gros tronc d’arbre qui est super lourd, pour atteindre des marches qui mènent à la porte. Tout en ayant des archers qui leur lancent des flèches plein la tête. Les chances que les envahisseurs aient assez de forces pour frapper la porte avec assez de force pour faire quelque dommage que ce soit.

Par la suite, nous sommes allez dans le cartier de Baixa, qui est le cartier des affaires et qui est à l’ouest du cartier Alfama. Au sud du cartier, il y a la place du commerce, qui donne directement sur la mer, qui est présentement en rénovation. Cette place fut détruite lors d’un tremblement de terre qui survint le premier novembre 1755. Ce tremblement de terre dura près de 10 minutes et fut suivi de raz-de-marée qui montèrent loin dans la ville. En passant les rénovations n’ont aucun rapport avec le tremblement de terre de 1755, mais c’est qu’ils refont les canalisations d’égouts et ils agrandissent les trottoirs. Nous avons pris le funiculaire pour faire une brève incursion dans le cartier de Chiado qui est un peu plus à l’ouest, ce cartier est le cartier des intellectuels. Nous avons quitté le groupe pour rester un peu plus longtemps car le retour était prévu à 13H20 alors que le bateau ne quittait qu’à 13H30. Donc nous sommes restés pour profiter des boutiques, du soleil et de la sangria.

Une chose que nous avons remarquée à propos de Lisbonne, c’est que la pauvreté semble omniprésente. Il y a beaucoup de bâtiments qui sont endommagés et les rues sont souvent en mauvais états, alors que le gouvernement dépense beaucoup d’argent pour la rénovation. Lorsque les gens rénovent les bâtiments historiques, le gouvernement financent jusqu’au tiers du coût. Partout les gens nous disent de faire attention aux pickpockets. La guide nous dit quand on va entrer dans l’église Notre-Dame et quand nous allons entrer dans le funiculaire, nous allons être en file, si il y a du raffut proche de nous, les pickpockets feront leur travail, il faut mettre votre sacoche devant vous et la tenir à deux mains. Nous achetons des souvenirs, je remets le portefeuille dans ma poche, comme du change est supposé revenir, je ne ferme pas la poche, un des vendeurs me dit de faire attention à cause des pickpockets. Il semblerait que les chiens sont aussi très populaire au Portugal, tout le monde semble en possédé un. Ça sent l’urine de chien des qu’on est à l’extérieur et ce peu importe l’où on va. Devinez ce que va bien avec l’urine de chien…. Les mouches. Il y a beaucoup de mouches dans le centre-ville. C’est vraiment une ville agréable à vivre!!! Nda : c’était du sarcasme.


2009/09/12

Vigo et Baiona, Espagne, 12 septembre

Vigo et Baiona

Vous avez peut-être remarqué que je n’ai pas fait de blog pour Cork et Cobh. Disons que j’ai décidé de ne faire le blog que le lendemain. L’horaire que nous avons eu depuis Le Havre est, une journée en mer, une journée à Cobh et Cork en Irlande, une autre journée en mer, puis Vigo en Espagne. La traversée entre Le Havre et Cobh n’a pas été facile, mais je l’ai passé à dormir car j’avais un petit mal de mer. Comme à la fin du voyage, je n’étais pas trop en mauvais état, j’ai décidé de faire le blog de Cork et Cobh durant la traversée entre l’Irlande et l’Espagne.

Cependant, mère nature a décidé que je passerais la journée au lit. Nous avons eu des vagues de 12 pieds et des vents de force 8, je ne connais pas la vitesse que ça représente, mais j’ai été sur le pont prendre l’air, je peux décrire la force du vent comme étant assez ports pour écorner les bœufs. J’ai eu beau prendre des Gravols comme des smarties, sans succès. Une autre journée au lit. Pour le souper, nous avons décidé d’aller souper au resto qui nous est réservé lors des soirées. Ce qui est bien avec ce resto, c’est qu’il est sur le 6e pont et à l’arrière. Donc nous fessions des sots de 12 pieds et tanguions d’un bord à l’autre du navire. Après avoir été prendre l’air 2 fois, par prendre l’air je veux dire « caller l’original », sans succès à cause de Gravols. J’ai décidé de retourner à la chambre pour faire une sieste. La seule cure que j’ai trouvé pour le mal de mer, c’est d’être à l’horizontal et d’avoir les yeux fermés.

Donc pas de blog sur l’Irlande. Mais je peux vous faire un résumé. Il faisait beau, il y avait des soulons qui buvaient dans la rue à 10 du matin. Un contracteur qui travaillait sur une maison qui donnait sur la rue, utilisait des kegs de bières vides à la place de cônes orange, on a visité une prison et le centre ville de Cork. Là nous avons pris notre diner dans un pub Irlandais où la bouffe était excellente mais sans prétention. C’était un peu salé, mais la Guiness est faite pour cela non? Ensuite, nous sommes retournés vers Cobh où nous avons visités Marselina, Agnes et moi une partie de la ville de Cobh ainsi qu’une église qui est juchée au dessus de la ville. Cela résume en gros l’Irlande.

Enfin l’Espagne, nous voici rendu dans le sud de l’Europe. Il fait beau et chaud, malgré que Vigo ait de la brume le matin, selon notre guide c’est à cause des températures chaudes qui ont prévalues depuis une semaine dans la région qu’il y a de la brume le matin.

Lors de notre arrivée, nous avons pris notre déjeuner avant d’allez au théâtre du bateau pour rejoindre notre groupe, cette fois-ci c’était très bien organisé. Chaque groupe partait avec une demi-heure d’intervalle. Donc quand le théâtre se vidait, il y en avait un autre groupe qui commençait à le remplir. Nous avons pris notre bus en direction de Baiona, une belle petite ville qui date de l’an 1000 avant Jésus Christ. Il y a eu des Celtes, puis des Romains, puis les Ibères. Quelle est l’instrument de musique de la région? La cornemuse. Arrivé à Baiona, il y a une forteresse qui date du moyen-âge qui s’appelle Fortaleza Monterreal, la forteresse du mont royal. Cette forteresse est géante et le château au centre des murs est rendu un hôtel. Les murs font plus de 8 pieds de large et il y a une forêt à l’intérieur des murs. Au plus haut de sa gloire, il y avait 600 fantassins, deux escadrons de cavalerie ainsi que de l’artillerie qui était en poste dans cette forteresse. Baiona est la ville où est revenu la Pinta, une des trois de Christophe Colomb après la découverte de l’Amérique. Elle s’est perdu en chemin et a atteint la côte de l’Espagne à Baiona. Ils ont une réplique de la Pinta dans la marina que nous pouvons visiter, mais je l’ai déjà fais. En effet elle était à Québec lors de mon voyage de fin d’année lorsque j’étais en 5e année. Comme nous n’avions qu’une heure et demie à Baiona, nous n’avons pas eu beaucoup de temps dans la ville. Lors de notre retour nous avons visité Vigo en bus pour voir les points d’intérêt pour les touristes, mais comme on les visites en bus, c’est un peu moins intéressant. À la fin, nous avions encore quelques heures que nous avons utilisées pour faire des boutiques et un resto avec un petit vin espagnol.

Selon moi, il aurait fallu au moins une journée à Baiona et une semaine complète pour visiter la région. Disons que je reviendrais ici sans hésiter pour passer d’autres vacances.

Nous repartons à 16H en direction de Lisbone et selon le capitaine, allons avoir un beau paysage lors de notre sortie du port. Mais malheureusement encore des forts vents lorsque nous allons suivre la côte vers le Portugal. En espérant que ça ne brasse pas trop.

2009/09/08

Le Havre, Normandie, 8 septembre

L’arrivée à Le Havre et le départ pour un tour de la Normandie

Nous avions pris un tour guidé. Notre premier du voyage. À Rotterdam, nous avions pris une navette pour allez au centre-ville. À Zeebrugge nous avions pris un tour où nous faisions le tour nous même. Le départ était à 7H30 le matin. Donc déjeuner à 6H30, décrottage et regarder le bateau accoster en même temps que le soleil se levait. Nous sommes donc descendus à notre point de départ, qui est un bar sur le 7e pont du bateau. On arrive à 7H25, on reçoit des petits collants « D2 », le même que le couple devant nous, alors que le couple d’avant reçoit le « D1 ». Ces collants qu’ils nous donnent, sont utilisés pour identifier les groupes. Tous les Ds vont au même endroit, mais il y a souvent plusieurs groupes. À 7H35 le groupe « D1 » quitte le bar pour allez à leur autobus. Nous on attend, et on attend, et on attend. Arrive 8H05, le monde commence à s’impatienter. Il y a du monde qui parle à côté de nous, ils disent qu’ils manquent 4 personnes et qu’on les attend. Quand le monde commence à gueuler pour de vrai après le personnel, celui-ci nous dirige enfin vers l’autobus. Quand on arrive à l’autobus, devinez ce qu’on a fait…. Vous l’avez devinez, on a attendu les 4 personnes qui manquaient. À 8H30, ils ont enfin décidé que ces 4 personnes n’étaient pas dignes de faire parti du tour. C’est peut-être une bonne chose pour eux, ils se seraient fait lyncher s’ils avaient rejoint le groupe. Donc nous partons en direction du Château Du Breuil où nous sommes supposés découvrir comment ils font du Calvados, un brandy à base de pommes. Nous sommes aussi supposés y faire une dégustation de vin et fromages avant de se rendre à la Ville de Honfleur.
Donc avec une heure de retard sur l’autre groupe, nous nous dirigeons enfin vers le Château Du Breuil. Notre guide nous dit qu’il nous faut une heure pour se rendre au Château. Après 45 minutes de routes notre elle reçoit un appel sur son téléphone portatif. Le château ne peut recevoir deux groupes en même temps. Elle panique et parle au chauffeur, ça fait du bien d’être en France, au moins je peux comprendre ce qui se passe. Elle sait que le groupe est déjà en pétard et que si elle le dit groupe, on va lui arracher la tête. Il faut donc qu’elle trouve quelque chose rapidement, que si on reprend l’autoroute, elle est dans le trouble. Mais il faut allez à Honfleur pour passer le temps en attendant que l’autre groupe finissent leur tour du château. Alors le chauffeur à trouver une idée, nous sommes allez à Honfleur en passant par les routes de campagnes, ce qui changeait un 30 minutes d’autoroute en 45 minutes de routes de campagnes. À 5 minutes d’Honfleur, ils nous annoncent qu’on arrive. Alors le troupeau de mouton est tout heureux, on est arrivé quelque part.

Honfleur

2H15 d’attente et de route pour aller à une ville, dont je n’ai jamais entendu parler, qui située à 30 minutes du bateau. Honfleur est une belle ville qui a un grand passé. Comme la deuxième guerre mondiale à pratiquement tout raser les villes de Normandie, incluant Le Havre, Honfleur est un bijou pour ceux qui aiment les bâtiments historiques. Comme le nom Normandie vient des mots « North men » ou « hommes du nord », car en 911, le roi de France a fait de Rolo, un Chef Viking, un Duke pour arrêter les invasions vikings, les influences vikings sont omniprésentes dans tout le paysage. Les maisons traditionnelles font faites de billots de bois ou de 8X8 et ils remplissent les espaces entre les billots. Disons que je ne vous ferais pas un cours d’architecture viking. Mais ils ont une église de style gothique avec des influences viking qui date du 15e siècle. Cette ville a encore des maisons qui ont le deuxième étage qui est plus grand que le rez-de-chaussée. Il n’y a plus de maisons qui sont faites comme cela depuis le grand feu de Rouen, qui a décimé une partie de la ville car les pompiers ne pouvaient entrer dans les rues à causes des deuxièmes étages qui se touchaient presque. Ils disent que les gens pouvaient se serrer la main.
Un fait intéressant à propos cette ville, le 15 avril 1608, Samuel de Champlain à quitter le bassin central d’Honfleur avec son bateau pour fonder Québec.

Calvados et le château Du Breuil

Lorsque nous avons fini avec Honfleur, nous nous sommes dirigés vers le Château Du Breuil. Donc un 45 minutes de chemin de campagne, pour ne pas prendre l’autoroute car les personnes qui sont avec nous dans le bus se serait rendu compte qu’ils se sont fait jouer un tour. Rendu au Château, ils nous expliquent comment ils font le Calvados, ils nous montrés les chais où fermentent le Calvados, comment ils calculent l’évaporation et comment ils mélangent tous les chais pour faire un Calvados qui est semblable d’une bouteille à une autre. Nous avons continué avec une dégustation de cidre et de Calvados, puis finis le tout avec une dégustation de fromage, avec du cidre en quantité industrielle. Comme la brochure de la croisière indiquait que tout alcool que nous reporterions à bord, serait gardé dans un endroit où nous n’avons pas accès et qu’ils nous seraient redonné une fois la croisière terminé, nous n’avions acheté aucun « souvenir ». Lors de la dégustation de fromage, un couple d’Américain nous ont dis qu’en réalité, nous avons le droit de rapporter jusqu’à une bouteille pour fin de « célébration » par personne par escale. Nous avons donc retourné au magasin qui château pour pouvoir célébrer avec du Calvados ce soir.

Alors que nous allons sortons du port, escorté par la gendarmerie maritime pour nous rendre, non demain mais après demain en Irlande car nous allons y allez tranquillement et passer une journée complète en mer.

Places visitées