2009/09/14

Lisbonne, Portugal, 13 septembre

Lisbonne, Portugal

Arrivés à 7H du matin. Nous avions booké un tour guidé de la ville de Lisbonne. Le tour guidé commençait seulement à 9H30. Nous avons donc eu le temps de prendre le déjeuner avant de partir. Comme notre tour se faisait à pied, nous avons pris un bon déjeuner. Notre tour a commencé dans le cartier d’Alfama. Vieux cartier qui à été fondé par des Visigots qui a été conquis par des Mores venus d’Afrique et qui finalement fût repris par les croisés lors de la deuxième croisade.

Le cartier d’Alfama est un très vieux cartier avec plein de petites rues dont la plupart ne sont en fait que des escaliers ou des allées où les voitures ne peuvent entrée. Dans ce cartier il y a, comme dans tous les cartiers de villes catholiques, une église Notre-Dame. La différence de cette église a avec les églises Notre-Dame que nous connaissons si bien et que cette église est aussi en fait une forteresse qui servait à défendre les habitant en cas d’invasion. La forteresse qui est bâtie sur une des collines de Lisbonne ne pouvait accueillir toute la population à cette époque. L’église a donc des murs très épais et le devant de celle-ci n’as pas de fenêtres que l’on retrouve généralement dans les églises, mais a plutôt des meurtrière, ces petites fenêtres qui sont plus large à l’intérieur qu’à l’extérieur. Pour permettre aux archers de pouvoir viser dans un grand angle tout en étant protéger dans ils n’offrent qu’une dizaine de centimètres de large aux ennemis. Les murs font plusieurs mètres de large et le devant de l’église est en haut d’une pente et a plusieurs marches à monter pour les atteindre. À l’époque le seul moyen pour défoncer les portes et les murs, était d’utiliser des béliers, qui sont en fait des gros troncs d’arbres avec un bout en métal que les hommes portaient en courant. La technique est que les envahisseurs auraient dû courir en haut d’une colline avec un gros tronc d’arbre qui est super lourd, pour atteindre des marches qui mènent à la porte. Tout en ayant des archers qui leur lancent des flèches plein la tête. Les chances que les envahisseurs aient assez de forces pour frapper la porte avec assez de force pour faire quelque dommage que ce soit.

Par la suite, nous sommes allez dans le cartier de Baixa, qui est le cartier des affaires et qui est à l’ouest du cartier Alfama. Au sud du cartier, il y a la place du commerce, qui donne directement sur la mer, qui est présentement en rénovation. Cette place fut détruite lors d’un tremblement de terre qui survint le premier novembre 1755. Ce tremblement de terre dura près de 10 minutes et fut suivi de raz-de-marée qui montèrent loin dans la ville. En passant les rénovations n’ont aucun rapport avec le tremblement de terre de 1755, mais c’est qu’ils refont les canalisations d’égouts et ils agrandissent les trottoirs. Nous avons pris le funiculaire pour faire une brève incursion dans le cartier de Chiado qui est un peu plus à l’ouest, ce cartier est le cartier des intellectuels. Nous avons quitté le groupe pour rester un peu plus longtemps car le retour était prévu à 13H20 alors que le bateau ne quittait qu’à 13H30. Donc nous sommes restés pour profiter des boutiques, du soleil et de la sangria.

Une chose que nous avons remarquée à propos de Lisbonne, c’est que la pauvreté semble omniprésente. Il y a beaucoup de bâtiments qui sont endommagés et les rues sont souvent en mauvais états, alors que le gouvernement dépense beaucoup d’argent pour la rénovation. Lorsque les gens rénovent les bâtiments historiques, le gouvernement financent jusqu’au tiers du coût. Partout les gens nous disent de faire attention aux pickpockets. La guide nous dit quand on va entrer dans l’église Notre-Dame et quand nous allons entrer dans le funiculaire, nous allons être en file, si il y a du raffut proche de nous, les pickpockets feront leur travail, il faut mettre votre sacoche devant vous et la tenir à deux mains. Nous achetons des souvenirs, je remets le portefeuille dans ma poche, comme du change est supposé revenir, je ne ferme pas la poche, un des vendeurs me dit de faire attention à cause des pickpockets. Il semblerait que les chiens sont aussi très populaire au Portugal, tout le monde semble en possédé un. Ça sent l’urine de chien des qu’on est à l’extérieur et ce peu importe l’où on va. Devinez ce que va bien avec l’urine de chien…. Les mouches. Il y a beaucoup de mouches dans le centre-ville. C’est vraiment une ville agréable à vivre!!! Nda : c’était du sarcasme.


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